• Dans leur nation d'origine, les Etats Unis d'Amérique, ils s'appellent des "buttons", bouton en anglais, puisque ses fabriquants se sont inspirés des boutons métalliques qu'ils personnalisaient en les recouvrant de tissu.

    Le procédé industriel était d'usage facile puisque des couturières et même des ménagères disposaient souvent à domicile de petites machines destinées à fabriquer des boutons assortis à leurs vêtements en y employant le même tissu.

    Un revêtement en celluloïd plus solide et permettant des impressions sérigraphiques plus nettes, succéda au textile et l'on obtint ainsi un badge destiné à promouvoir, logos des clubs et des groupes commerciaux ou encore politiques. Dans les années 60 avec l'arrivée sur scène du rock et la montée de nouvelles cultures initiées par la jeunesse comme les mouvements hippies et autres, le badge fut porteur des différentes tendances musicales et socio-politiques et particulièrement du rock, du punk, des mouvements pour la paix etc.

    Leur fabrication plus que jamais aisée et bon marché grâce aux nouvelles technologies, en adéquation avec la possiblité d'afficher discrètement son appartenance à un réseau, une "tribu"  a renouvelé récemment l'intérêt que le public leur portait.  

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  • L'engouement pour le tatouage permanent exécuté à l'encre et à l'aiguille a entraîné récemment la diffusion d'un art oriental commun aux peuples de l'Afrique du Nord comme à ceux de l'Asie orientale et septentrionale, le tatouage éphémère au henné.

    En Inde,  l'art du meh(e)ndi utilise depuis toujours cette plante, le lawsonia inermis dont on tire la poudre tinctoriale souvent appelée henné que l'on dilue pour tracer des peintures corporelles qui durent plus ou moins de temps (de 8 à 20 jours) selon la volonté et l'habileté de l'exécutrice.

    Nous avions ainsi autrefois en vente pour cette utilisation particulière des tubes de henné en pâte accompagnés de leurs applicateurs, des cônes en platique un peu semblables aux poches à douille utilisées en pâtiserie bien qu'aujourd'hui, les artistes indiens leur préfèrent souvent une seringue sans aiguille, plus facile à manoeuvrer.

    Mais on peut tout aussi bien utiliser du henné naturel en poudre que l'on dilue ensuite dans un peu d'eau -moins c'eau cependant que pour son utilisation pour les cheveux. Traditionnellement, les femmes y ajoutaient d'autres ingrédients, notamment du jus de citron pour la tenue, des herbes et des plantes odoriférantes pour le parfum et parfois d'autres produits comme la noix de galle par exemple pour l'assombrir.

    Vous découvrirez les recettes de certaines préparations ainsi que moultes indications  sur la plante et son usage en feuilletant le livre de Michèle Maurin, "fleur de henné".

    L'une des manières les plus pratiques pour réaliser des motifs complexes est sans doute l'usage du pochoir.

    Nous disposons dans notre boutique de quelques modèles de pochoirs indiens en toile plastique souple et adhésive  sur une face qu'il suffit de passer sous l'eau du robinet après utilisation pour que la surface autocollante recouvre ses propriétés. De l'huile spéciale dite de mehendi vous est également proposée pour onction post pose afin d'empêcher le dessèchement de la peau mais aussi de prolonger la durée du dessin qui est ainsi embelli.

    En tête de mon article, un exemple des pochoirs disponibles. A noter qu'on peut, bien sûr, les utiliser pour la décoration de surfaces diverses.

     

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  • Niels en total look London Punk, pantalons camou, rangers, clous, badges et tattoo.

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  • petite visite chez nous juste avant les vacances

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  • à la recherche d'un monde meilleur

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